La ménopause triomphante
Le blog d'une quinqua libérée et un peu... zébrée !
Trouvez l'inspiration, les conseils et les informations nécessaires pour comprendre le retour d'âge féminin et ne plus subir.
Vivez la ménopause
de manière triomphante !
Les symptômes de la ménopause sont souvent méconnus des femmes. Ils se confondent avec d'autres pathologies ou avec la fatigue, liée au stress. Connaître les signes de la périménopause s'avère essentiel pour mieux les gérer !
De l'addiction au sucre, à la perte de poids en passant par la musculation et le yoga, vous trouverez ici tous les articles pour améliorer votre condition physique et mieux supporter la pérménopause !
Quels compléments alimentaires, comment améliorer sa sexualité, comment est vécue la ménopasue à travers le monde ?
Conseils et réflexions sur la santé et la condition de la femme après 45 ans !
Sur le Net, dans les médias, journalistes et médecins parlent de ce retour d’âge féminin, dans leur rubrique de santé des femmes. Ils le décortiquent, alors, en symptômes de la ménopause ou en phénomène social, le découpent menu pour en extraire tous les aspects, dans un mouvement se voulant féministe et qui revendique le bien-être de toutes les femmes, à tous les âges.
Ces conseils, souvent superficiels et peu sourcés, énoncés entre la recette de la cassolette de fruits de mer et les infos matinales, se perdent et se mélangent, avec ceux pour lutter contre le réchauffement planétaire ou les coups de soleil.
Contraignants, ils seront vite oubliés. Puis, au temps des sueurs et des bouffées de chaleur, les plaintes, les jérémiades et les discours victimaires prendront place : c’est si difficile d’être une femme ! Pleurnicheries et fatalisme n’arrangeront rien à l’affaire. Il faut agir et se prendre en main.
Alors quoi ? Que faisons-nous ?
Je n’ose imaginer le désarroi de nos mères et grand-mères face à ce moment crucial et si perturbant : les sueurs nocturnes, les bouffées de chaleur, les insomnies…
Car à leur époque, le « mal » féminin, peu vulgarisé et peu connu des médecins, essentiellement des hommes, s’affrontait seule, ou presque. Dans le secret des conversations féminines, au bord d’un lavoir, entre deux vaisselles, elles s’accordaient un peu de réconfort, en se transmettant des recettes de grand-mère : une poignée de bourrache, quelques incantations et voici un traitement naturel de la ménopause !
Leur corps, malmené par de nombreuses maternités et le quotidien des corvées ménagères manuelles, achevait de s’épuiser en nuits blanches et douleurs articulaires durant la périménopause.
Aigries, devenues acariâtres, elles passaient alors facilement pour des vieilles mégères. Pauvres femmes d'alors !
Yash Dave
Cinquante ans plus tard, je discutais avec une amie de mon âge. Celle-ci m’expliquait que les femmes de sa famille s’en sortaient très bien, sans traitement hormonal de la ménopause. Elle en concluait que ce dernier n’est pas nécessaire pour traverser les affres de cette période. Elle suivrait donc leur chemin.
Mais, elle semblait ignorer les conséquences de la diminution des hormones, sur le long terme. Non ! Pas les symptômes climatériques ressentis entre 45 et 55 ans. Non ! Je parle de ceux qui découlent de la baisse des œstrogènes, et qui surviennent vers 65, 70 ou 80 ans.
Par exemple, une petite chute dans les escaliers, et voici une tête de fémur cassée ! Quelques radios plus tard, une ostéoporose, « normale », chez une femme de cet âge, est diagnostiquée. Elle condamne la malheureuse à de longs mois sans marche, à une fonte musculaire et peut-être à la perte définitive de sa mobilité. Bref, le début de la fin.
Mon amie, sait-elle que le traitement hormonal de la ménopause, pris durant une dizaine d’années, aurait ralenti la perte de densité osseuse ? Qu’il aurait, sans doute, limité le risque de fracture, évitant ainsi de déclencher une suite de conséquences irrémédiables ?
Car la ménopause reflète, pour la plupart des gens, une période de 4 ou 5 ans, que nous devons toutes traverser. Or, cette phase impacte le présent mais aussi tout le reste de notre vie ! C’est pourquoi, il est essentiel de bien la cerner, de la comprendre, car sa méconnaissance aura des conséquences pour les dizaines d’années qui vont suivre !
De mauvais choix à 50 ans peuvent pénaliser les 30 ans qui suivent !
Bref, il me semble, parfois, que les femmes de notre époque demeurent peu informées sur ce que leur corps traverse et les conséquences. Les médias peinent à les convaincre. Ils devraient peut-être revoir leur méthode !
Les femmes connaissent les principaux symptômes climatériques, réclament des « médicaments » qui n’existent pas, et c’est tout !
Or, une bonne gestion des troubles de la ménopause affectera votre vieillesse, bien au-delà de 55 ans !
Par exemple, un THM retardera et limitera l’ostéoporose, qui surviendra, inéluctablement, mais plus tard.
Le sport à la ménopause et une alimentation riche en protéines permettront de maintenir une musculature dynamique et un équilibre stable, qui empêcheront les chutes et maintiendront une bonne mobilité…
Certaines mesures prises dès 45 ans limiteront les effets du SGUM, le syndrome génito-urinaire de la ménopause, qui complique tellement la vie sexuelle après 45 ans.
Etc.
Il ne faut donc pas tarder à prendre de bonnes mesures !
Prendre conscience de cette injustice, que de vivre dans un corps contraint par des hormones, c’est un premier pas. Mais insuffisant.
Militer pour que cet « état » douloureux et pénible soit reconnu, dans le cadre du travail, personnel ou familial est nécessaire.
Faire avancer les esprits sur la sexualisation du corps féminin, jeune et beau, qui révoque au placard celui des femmes ménopausées, car trop flétri, permettra d’accepter cette vieillesse si méprisée.
Enfin, comprendre les phénomènes en mouvance dans notre organisme, mettre en place de nouvelles habitudes de vie, s’informer sur le progrès de la médecine sur ce sujet, représente les meilleurs freins à la dégradation précoce de notre « état » physique et psychique.
Pour une renaissance ménopausique !
Pour une ménopause triomphante !
Disha Sheta
Du temps pour soi, le besoin d'écouter son corps trop longtemps oublié se manisfeste. La fin des injonctions de la société qui pèsent sur notre apparence depuis notre jeunesse.
Les enfants grandissent, gagnent en autonomie... Nous avons du temps pour explorez de nouveaux horizons. Car la vie d'une femme n'est pas que reproduction !
Les avis des autres deviennent secondaires. Nous connaissons nos faiblesses, nos forces et agissons selon nos convictions. L'expérience nous apprend à croire en nos compétences.
Notre plaisir et nos envies s'expriment enfin sans taboux (ou presque) et ne passent plus après ceux de notre amoureux/se. Différente, notre sensualité se réinvente.
Celle que la société chantonne insidieusement, qui vous serine votre âge, vos incapacités naissantes, votre libido en berne, votre surpoids, vos rides, votre vieillissement... Votre ménopause !
Car une femme après 45 ans, dans nos société modernes, semble vouée aux gémonies. Pour peu, elle devrait se cacher et dissimuler ce que d'aucun considère comme de la décrépitude.
Et pourtant, ces dernières années, les cinquantenaires, plus belles les unes que les autres, apprivoisent leur nouveau corps, leur sexualité plus apaisée et experte, leur exentricité longtemps dissimulée sous les devoirs de mère, d'épouse ou d'employée parfaites.
Les cheveux gris s'assument, les rides racontent notre histoire et dévoilent une nouvelle sorte de féminité, nos formes s'épanousissent (ou pas)... Les symptômes de la ménopause se domptent !
La société devra s'y habituer ! Nous voilà !
La ménopause devient triomphante ! Glorifions cette période, enfin libérée des règles, des enfants, de l'inexpérience...
Mettons une claque à ces préjugés néfastes, à nos complexes et profitons de ces belles années à venir !
Stress, angoisse, depression, brouillard mental, perte de mémoire... sont des symptômes de la ménopause. Peu connus, ils demeurent souvent ignorés, alors qu'ils sont à l'origine d'un profond mal-être. Explications...
Jan Kopnva
Little Visuals
Ces bouffées vasomotrices perturbent le quotidien et altèrent la qualité de vie. Pour en comprendre leur origine, il est essentiel d’explorer les changements hormonaux et neurologiques durant la ménopause.
Towfiqu-Barbhuiya
Elle arrive parfois très tôt, avant 40 ans, à un âge ou l'idée d'avoir un enfant demeure encore vivace. Comprendre le diagnostic, les causes, les symptômes et le traitement hormonal de substitution de l'insuffisance ovarienne prématurée (IOP) s'avère fondamental.
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